L’Italiana in Londra, un divertissement jubilatoire.
Imbroglios, rebondissements, … Cimarosa, que d’aucuns qualifient de « Mozart italien », modèle incontestable dont on reconnaît le style facétieux et jubilatoire dans Cosi fan tutte, nous plonge avec l’Italiana in Londra dans un univers à la fois amoureux et burlesque dans une société où monte l’influence de la bourgeoisie et où se développe le commerce international. Personnages typés, déguisements et situations savoureuses, airs et récitatifs pittoresques ou dramatiques conduisent à des ensembles impressionnants, longtemps avant Rossini – qui n’en a pas peu appris !
Reportage vidéo de la production (ici)
Réalisé à Strasbourg, Cité de la Musique par Lilia Dornhof.
Première étape – chanteurs, mise en scène : Amilly, mai ’15
Seconde étape avec tout l’effectif : Sarrebourg, Strasbourg, Endingen (D), Spa (B)
Distribution
- Graziana Palazzo (Bari, Italie), soprano : Livia, une jeune italienne
- Eva Maria Soler Boix, (Espagne/Bâle) soprano : Madama Brillante, la tenancière de l’auberge
- Francisco Mañalich (Paris), tenor : Sumers, un riche marchand hollandais
- Maxime Duché (Paris), tenor : Sumers, un riche marchand hollandais
- Jaroslaw Kitala (Pologne/Strasbourg), baryton : Don Polidoro, un Napolitain
- Germán Enrique Alcántara,baryton (Argentine/Paris) : Milord Arespingh, un noble anglais.
Orchestre de Génération Baroque
- flûtes : Samuele Casale & Johanna Bartz
- hautbois : Olga Marulanda & Aurélien Laizé
- cors : Jules Lezy : Berit Kumkar
- violons 1 : Anna Rogers, Antonio De Sarlo, Hachidai Saito
- violons 2 : Charlotte Kohl, Hsu-Mo Chien, Marine Mairet
- violon alto : Francesca Venturi
- violoncelle : Kevin Bourdat
- contrebasse : Adrien Alix
- clavecin : Manuel Dahme, Clémence Schweyer (assistante)
Stéphanie Pfister, coach pour les cordes.
Carlos Harmuch, mise en scène
Kira Valkema, assistante mise en scène
Anita Fuchs, scénographie
Lilia Dornhof, reportage vidéo
Martin Gester, direction générale et musicale
génération baroque 